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Bloody Conneries

18 novembre 2007

Wound

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18 novembre 2007

Bowl_of_Blood

7 octobre 2007

death45

8 août 2007

Flight of the Conchords

Vous connaissez ce truc? Moi j'en avais jamais entendu parler avant ce matin. MrRight m'a envoyé ce lien comme il le fait toujours quand des anglophones s'essayent au français (= le "comedy language " comme il dit): http://fr.youtube.com/watch?v=9OuJaOg6aIQ (ça commence à 1:35)
C'est assez énorme pour mériter un post dans notre merveilleux blog.

Yours fouloufafa-ly,
Sue xxx

1 août 2007

Situation n°7

Tu viens d'avoir ton BAC et tu décides de devenir médecin:

a) Tu entres donc en première année de médecine. Ton année de Bizuth se passe sans trop de problèmes, tu t'adaptes plutôt bien à l'ambiance, tantôt bon enfant, tantôt coup de pute dans le dos. Tu as beau travailler comme un taré, tu sais aussi te ménager des pauses (genre des soirées-orgies comme on en fait beaucoup dans ce genre de facs...). Tu foires la première première année. Tu retentes. Lors de ton année de Carré, tu te rends compte que le travail monstrueux fourni en Bizuth te sert énormément. Tu es plus à l'aise dans toutes les matières, et les tonnes de connaissances que tu as emmagasinées l'an dernier rentrent plus facilement. Tu bosses quand même comme un dingue, tu te fais quelques nocturnes à la BU parce qu'il faut et aussi parce que c'est sympa et tu arrives à un classement honorable dans ta boîte à colles. Tu arrives 59°/600. Juste ce qu'il faut: le numérus était à 60 cette année. Félicitations! Tu seras médecin.

b) Tu entres donc en première année de médecine à l'âge de 16 ans, âge où tu as décroché ton BAC L (celui où les cours de bio se limitent à "les petites filles ont un zizi et les petits garçons, un zouzou"). Dès le premier jour, tu comprends ce qui t'attend et tu t'y mets à fond, comme tu le fais toujours de toutes manières. En 2 jours, tu maîtrises parfaitement l'art de prendre les cours en sténo (même les soupirs du prof, tu les notes) et aussi l'art de les prendre en double bourrés de conneries pour les prêter à ceux qui ne notent pas si vite que toi. Bref, tu es une pute, une vraie. Tu masterises dans toutes les matières au Cha (ou dans une quelconque boîte à colles digne de ce nom). Le mois de Mai arrive et tu récites tes cours même en dormant. Le verdict tombe: tu es le plus jeune Master Bizuth de l'Histoire. Et pourtant, tu partais de loin! Félicitations, tu seras chirurgien cérébral (en même temps que psychiatre, pédiatre et gastroentérologue).

c) Tu entres donc en première année de médecine. Ton année de Bizuth se passe sans trop de problèmes, tu t'adaptes plutôt bien à l'ambiance, tantôt bon enfant, tantôt coup de pute dans le dos. Tu as beau travailler comme un taré, tu sais aussi te ménager des pauses (genre des soirées télé parce que même à 18 ans, ta mère ne te laisse pas sortir seul le soir...). Tu foires la première première année. Tu retentes. Lors de ton année de Carré, tu te rends compte que le travail monstrueux fourni en Bizuth te sert énormément. Tu es plus à l'aise dans toutes les matières, et les tonnes de connaissances que tu as emmagasinées l'an dernier rentrent plus facilement. Tu bosses quand même comme un dingue, tu te fais quelques nocturnes à la BU parce qu'il faut et aussi parce que c'est sympa et tu arrives à un classement honorable dans ta boîte à colles. Et puis tu rencontres un mec (une nana) avec qui tu décides de sortir, même si c'est pas le moment du tout. Vous bossez mais vous vous ménagez aussi des moments ensemble. Les heures de boulot s'espacent de plus en plus. Tu arrives à la fin de l'année avec un retard de taré que tu essayes tant bien que mal de combler par moultes nuits blanches. Mais rien à faire. Ces 3 derniers mois de semi-relâche te sont fatals (?). Tu ne seras jamais médecin.
Mais tu as une équivalence en 2° année à la fac de Biologie! Tu sautes sur l'occas. Et te voilà parti pour 4 ans à la fac, à te faire chier comme un rat mort parce qu'à la fac de bio, tu apprends en 4 ans le programme qu'en médecine tu avais fait en 1 an. L'avantage, c'est que c'est 4 ans de vacances. L'inconvénient, c'est que tu t'emmerdes à mourir. Tu arrives donc en Matser 2 de recherche dans un labo qui t'accueille à bras fermés, avec un maître de stage qui te demande de faire des trucs que même lui ne sait pas faire. Tu te retrouves toute l'année seul, à découvrir le fonctionnement du matériel, de logiciels divers et variés, à faire de la programmation informatique (toi qui sait à peine taper dans Word) à faire des stats mais sans vraiment comprendre de quoi il s'agit, etc etc. Tu prends 25 kilos tellement tu es stressé, tu bosses sans relâche mais tu ne peux pas le faire au labo parce que les ordinateurs n'ont pas assez de mémoire pour faire ce que tu as à faire. Donc tu bosses de chez toi. Ton maître de stage (qui n'est là qu'1 jour par semaine) croit que tu glandes rien, vu que tu n'avances pas aussi vite qu'il le voudrait (normal, tu découvres TOUT tout seul!!!), tu te prends des sales remarques dans la gueule. Tu soutiens ton mémoire que tu es le seul du labo à avoir rédigé sans l'aide de ton maître de stage donc forcément il casse pas des barres. Tu valides ton Master, cependant tu n'arrives pas à obtenir de financement pour ta thèse. Mais ce n'est pas un problème pour toi, tu bosses à côté des études. Quand tu arrives au mois de Novembre à l'école doctorale pour t'inscrire, ils refusent car tu n'as pas de financement officiel. Félicitations! Tu as un Bac+5 qui ne te sert à rien. Et tu passes un an dans le vide parce qu'en novembre, toutes les inscriptions ailleurs sont fermées.

La suite risque d'arriver dans un petit moment parce qu'on part en vacances demain pour quelques jours. Mais je suis sure que vous vous en remettrez.

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30 juillet 2007

The Tale Of l'Ourson Sournois

Salut les gens!

Vous aurez bientôt droit à la suite de notre test sociologique de l'été, c'est promis. J'ai une idée de situation, je vous dis que ça... que du vécu! (comme d'hab, quoi). Je sais que vous êtes fébriles, impatients, trépignants, que vous avez attaqué les pieds de la table tellement vous n'en pouviez plus (on peut toujours rêver) mais tout vient à point à qui sait attendre.

En attendant, il semblerait que ma bouteille de pinard premier prix de chez Leader Price fasse de moi une personne très prolifique en terme de rêves ininterprétables. Par conséquent, si quelqu'un arrive à décoder celui-ci, je double la récompense de Damoiselle Oo_Ellen_oO (et si t'es mignon, t'auras droit à un p'tit truc en plus des autres). Il est BEAUCOUP plus court que le précédent je vous rassure (le rêve, pas le mec mignon), puisqu'il a été interrompu par la facétieuse Dinah qui a trouvé que ça serait rigolo de me mordiller les doigts de pieds sous la couette mais qui a en fait fini par me labourer toute la jambe (effet sexy-en-jupe garanti).
Enfin bref. Mon rêve s'intitule donc Le Conte de l'Ourson Sournois ou Le Dîner Saugrenu.

Alors que je me promenais dans les bois (tout de suite déjà, on voit que c'est un truc irréel) un soir à la tombée de la nuit, je m'amusais à regarder les nuages à travers les branches. J'étais zen, même si j'étais complètement perdue, mais la coccinelle scintillante que j'avais croisée au dernier feu m'avais dit qu'il y avait une maisonnette pas loin. Et elle avait raison. Je ne la voyais pas encore, mais je sentais que quelqu'un faisait un barbecue. J'avançais donc, confiante, quand un bruit de buisson attira mon attention sur le bord du chemin. (J'aime bien le passé simple, ça fait genre conte et tout). J'écartai donc le feuillage et découvris une sorte de terrier minuscule. Un terrier de lapin surement. Quand je vis quelque chose bouger à l'intérieur. "Y a quelqu'un?" fis-je pas très rassurée. Rien. Je décidai donc de passer la tête par le trou (oubliant par la même occasion mon super brushing) et réitérai ma question. Toujours rien. Je repris donc ma marche sur le sentier en direction des côtelettes marinées quand quelqu'un m'interpela: "Youhou!" qu'il a dit. C'était un ourson en short et bretelles. Il était adorable alors j'ai voulu lui faire un câlin mais il n'avait pas l'air d'accord "Je ne suis pas de ces oursons-là", fit-il. "Mais je veux bien devenir ton ami d'abord. Je t'invite à dîner ce soir, ma maman est dans le terrier, elle t'attend". Je commençais à m'avancer quand je vis une lueur maléfique dans son regard. C'était pas une lueur d'ourson mignon, mais une lueur d'ourson qu'avait la dalle. Je me suis alors rappelé que les ours mangeaient surement les gens, des fois et j'ai compris que j'étais sur le menu. Mais je pouvais pas m'enfuire, il m'aurait rattrapée! Je lui ai alors proposé d'aller marcher un peu avant, en attendant que le dîné soit prêt et il a dit "D'accord mais je vais chercher mon tricycle, tu marcheras à côté". Nous voilà donc partis sur le sentier. On a dû discuter de choses et d'autres mais je me souviens déjà plus de quoi. Et nous sommes arrivés à un endroit que je connais bien: en bas du chemin qui va à la maison de mon père. Et là je me suis dit "Ma grande, y a pas à tortiller du cul pour chier droit, c'est maintenant ou jamais". J'ai poussé l'ourson dans le fossé et je suis montée sur le tricycle rose avec des franges au guidon et j'ai pédalé de toutes mes forces. Et c'était dur parce qu'il était vraiment pas à ma taille. A vrai dire, j'aurais eu plus vite fait de courrir, mais passons. Le petit Ourson pleurait au bord de la route avec des larmes d'ourson mignon: "Je croyais qu'on était amis! Reviens, on va pas te manger!". Et c'est là que mon chat est intervenu. Je ne connaîtrai jamais la fin de cette histoire. Mais elle m'a rendue triste pour la journée.

TeadyBear-ly yours,
Sue xxx

goodbye_bear_2006

23 juillet 2007

Pas un ****** de commentaire

Pour changer, quoi. Ca fait plaisir de voir que notre vie virtuelle est aussi trépidante que la vraie. C'est qu'on doit être des filles exceptionnellement ennuyeuses, faut croire.

Moody yours,
Sue x

20 juillet 2007

Situation N°5

Tu décides de prévoir une sortie piscine pour le lendemain car la journée a été chaude et très ensoleillée (plutôt simple et actuelle comme situation non ?)

a)      Tu as soudainement perdu 15 kilos et tu es magnifique dans ton bikini… d’ailleurs tous les hommes que tu croises te le disent. Le temps est radieux et quand tu plonges, ça ne fait ni bruit (genre le « ploutch » de la pierre ou le « splach » de la baleine), ni éclaboussure. Le soleil brille (mais pas trop fort), juste assez pour te couvrir d’un hâle doré. Tu pratiques superbement bien le dos crawlé (sans taper la tête sur le bord de la piscine), la brasse coulée (sans remonter hors de l’eau avec les cheveux en free style sur le front) ainsi que le papillon (et même que t’arrives à respirer pour de vrai !) et tes pieds épousent le rebord de la piscine tel un hibou. En rentrant, tu éblouis ton petit ami (silhouette parfaite, teint de pêche, senteur de monoï et dents plus blanches) qui se prosterne devant toi et te demande immédiatement en épousailles.

b)      Tu arrives au centre nautique de ta petite bourgade, il y a une queue monstre mais tu es d’une humeur joviale car tu as enfin l’occasion d’arborer ton nouveau maillot de bain. Il fait beau temps et quand tu nages, tu arrives plutôt bien à éviter les dizaines de milliers d’enfants qui se ruent les uns sur les autres et qui jouent aux raquettes de plage avec des balles de golf. Tu t’essaies à toutes les nages, même si tu n’en connais pas forcément les moindres secrets, tu t’amuses ! En rentrant, tu as un joli bronzage plutôt uniforme et ton chat te le fait remarquer !

c)       Un orage éclate à 7h du mat’ pour se terminer à 23h59, heure à laquelle, évidemment, la piscine est fermée. Tu décides d’aller faire les magasins avec ta coupine pour lui trouver une paire de rollers (à utiliser un autre jour cela va de soi) mais le rayon est fermé pour cause de travaux. Tu te rabats alors sur ton envie d’acquérir un petit short rouge (pour aller avec tes nouveaux rollers tunés rouges) mais il semblerait que cela soit mission impossible… Tu rentres chez toi et il ne se passe rien, comme d’habitude. C’est sûr, avec cette bonne journée de nage dans les pattes, tu vas bien dormir cette nuit !

Voili voilou, à demain (ou pas) !

15 juillet 2007

Situation N°3

Tu apprends aujourd'hui que tu es enceinte (pour les mecs, considérez qu'il ne s'agit pas de vous mais de votre copine... faut vraiment tout vous expliquer hein!)

a)  9 mois plus tard, tu donnes naissance à un magnifique bébé, une fille en plus, c'est exactement ce que tu voulais. Tu as pris 13 kilos et tes seins ne sont plus ce qu'ils étaient, mais la sage-femme t'assure qu'en quelques séances de kiné remboursées par la sécu, tu retrouveras un corps de rêve. Ton copain est ravi et aux petits soins pour vous deux.

b) Tu accouches le lendemain (sans poitrine oppulente, vergetures et sans contractions) d'une magnifique fille à la crinière de jais. Elle vient au monde dans une robe Gucci et parle déjà 4 langues. Tu sors de la clinique avec ta poitrine parfaite et tes 40 kilos. Ton mari s'appelle Keanu Reaves et vous vous rendez dans votre hotel privé où une montagne de Milky Ways à 0 calories t'attend pour te récompenser de tes efforts de la journée.

c) 9 mois plus tard, tu n'en peux plus. Tu as pris 72 kilos et tu n'y vois plus rien tellement tes yeux sont enfoncés dans la graisse. Ton copain est parti avec une fille plus jeune et tu continues de t'empiffrer de saloperies devant les Feux de l'Amour. 11 mois plus tard les contractions arrivent enfin, tu perds les eaux et ton appart miteux se transforme en piscine olympique. Tu appelles le service de dépannage. Ils t'envoient une grue pour te convoyer jusqu'à la clinique. Après 48 heures de travail, tu donnes naissance à un garçon (c'est con tu voulais une fille). Il est chauve des 3 têtes et a 6 orteils à gauche. Tu le reconnais dans la pouponnière quand il pleure car il crache des flammes et son haleine a des relents de poisson d'y a 15 jours. 12 ans plus tard, tu n'a toujours pas perdu tout ton poids, tu t'entraves régulièrement dans tes seins et tu n'arrives pas à remettre la main sur ton sac à main que tu as perdu au fond d'un bourrelet y a 3 semaines.

Ne manquez pas la situation N°4 dès demain sur Bloody Conneries

14 juillet 2007

Une petite chanson écrite pour nous

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